Notre mission
L’Allemagne est le premier partenaire économique de la France. Et pourtant, seuls 13,5 % des élèves français choisissent cette option en seconde langue étrangère !
Notre objectif, est de casser les clichés et d’aider les parents habitant Paris ou proche banlieue à motiver leurs enfants dans l’apprentissage de l’allemand – à travers des services du quotidien, tel que la garde d’enfants et des animations en allemand.
Comment l’idée est-elle née ?
Très active dans les réseaux franco-allemands à Paris, la fondatrice a constaté que beaucoup de familles franco-allemandes sont désespérément à la recherche d’un complément à l’apprentissage de l’allemand que propose l’éducation nationale. Pour les plus jeunes, la garde d’enfant en allemand présente une solution « deux pierres d’un coup », car les familles peuvent combiner leur besoin de garde d’enfant avec l’envie d’élever leurs enfants de façon bilingue. Pour les adolescent.e.s qui n’ont plus besoin de garde, les parents cherchent des cours d’allemands avec une approche plus ludique.
En effet, la recherche d’une personne adaptée et pérenne s’avère souvent difficile et frustrante : non seulement il n’est pas aisé de trouver des personnes germanophones et disponibles, mais il s’agit en plus souvent de solutions provisoires. Souvent, les familles sont obligées de se tourner vers une babysitter inexpérimentée et sans formation spécifique.
C’est ainsi pour répondre à un vrai besoin que l’idée de A comme Anders est née !
Pourquoi « A comme Anders » ?
Nous l’avouons, il n‘était pas évident de trouver un nom qui parle aux Allemands et aux Français à la fois ! Parmi de nombreuses idées, celle de la lettre A, ainsi que le mot « anders », qui ne signifie rien d’autre que « différent/autrement », et qui peut également être associé à un nom germanophone, ont retenu notre préférence.
C’est le chanteur néerlandais Herman van Veen qui a chanté ce magnifique morceau « Anders Anders » en allemand, français et néerlandais, et qui reflète le rattachement de la fondatrice à ces trois pays. Par-dessus tout, il regroupe tout ce que A comme Anders veut refléter : l’appréciation mutuelle des différences…